Nous n’avons pas de chance d’arriver sous la pluie ...
Petit tour de la ville pour repérer une Guest House pas chère, ce coup-ci sous de bonnes averses, les pieds dans l’eau. Petit break dans un bar, bonne nouvelle la bière n’est pas chère. On rencontre un français vivant en Inde. Il vient de passer son week-end ici, il s’en va demain. Il a plu tous les jours. Gloups. Ça, ça veut dire falaises détrempées.
" 230rps par chambre ". Guest house trouvée.
" - The rain how many time ? (j’aimerais bien aller tâter le grès qu’il y a par chez toi)
- 3 months.
- ... A quand même. But for the coming days ?
- Don’t know, possible in two weeks.
- Ça reste beaucoup. On attend un jour et si il pleut toujours on se casse. "
Un jour, une ballade à Badami et une MAJ du site plus tard, on se casse !
Le plus simple pour aller à Goa, d’après ce que nous avons compris, c’est de passer par Benzeemm, départ à 8h du mat’. La rue ressemble maintenant à un bassin d’eau vive, avis aux kayakistes.
Badami Bus station :
" - Scuz me the bus for Benzeem ?
- What ?
- Bennnnziiiim, Banzim ? Banzim ?
- Panjim ? This one.
- Bon les gars je crois que c’est le orange qui va a Banzeem."
Dans le bus, le contrôleur de ticket :
" -You go to ?
- Banzeem.
- How many people ?
- Four.
- 234rps each. "
800rps pour 4, pour faire 60 bornes, c’est cher non ? Bon déjà Benzim c’est où ? Sort la carte. Ça doit être par là. Bon allez on prend les tickets ça doit être le prix."
Panjim (Panaji) 234rps, 340kms (et 6 heures de route dans tous les bleds paumés du coin, surprriiiise). Bon en fait Benzeem c’est Panjim on avait rien compris et on arrive direct dans l’état de Goa. Cool.
Tristan